ANNECY
Toutes les bannières sur mon blog sont d'Alain, ami d'enfance de mon mari.
cueillette et
http://fr.wikipedia.org/wiki/Morille
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Le dragon a pris feu devant nous !!!!! clic clac (en premier plan ma tête)
CARNAVAL A CHARLEVILLE MÉZIÈRES (08)
http://tf1.lci.fr/infos/media/jt/0,,3705048,00-carnaval-gilles-animent-rues-binche-belgique-.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Binche
http://www.routard.com/mag_evenement.asp?id_evt=56
Lorsque l'on voit les Gilles, ce que l'on remarque bien sûr, c'est leur grand châpeau à plumes d'autruche, leurs costumes, rembourrés de pailles, leurs grelots, leur panier d'osier rempli d'orange et leurs chaussons et sabots.
I - Leur chapeau à plumes est très impressionnant, d'ailleurs par
grand vent, ils doivent le retirer.
Imagine une hauteur de 1m 50 et le poids est de 3 kg ......
A l'arrière, des rubans et une jugulaire servent à le maintenir au cou.
Plusieurs mois sont nécessaires à cette très jolie fabrication.
II - le costume est rembourré en paille, il est très coloré, tu y trouves
des lions, des étoiles, des couronnes et des blasons aux couleurs nationales
Belges.
Blouse et pantalon sont en toile de jute, toujours avec les motifs de lions,
d'étoiles et des bandes noirs, rouges, jaunes.
Sur la poitrine pris aux chevaux, et placé sur le plastron, à l'avant les
grelots sont de poids et sons différents.
Leur ceinture de 15 cm de large, de couleur rouge et jaune, tu y trouves 9 grelots et voilà 3 kg de plus.
Celles-ci, à l'origine servaient à éloigner les mauvais esprits.
III - Le panier en osier est sans aucun décor, les Gilles donnent des oranges au public qui apprécie beaucoup ce geste sympathique. Les origines disent que c'est pour exciter la fécondité.
IV – Les chaussons sont très particuliers, sans couture, fabriqués en laine ou coton, avant de les mettre, les Gilles se frictionnent les pieds avec du talc, pour mieux supporter les sabots.
V – Le sabot, est spécialement fabriqué pour les Gilles, il est creusé, soit dans un peuplier, soit dans un saule. A l’avant du sabot, un ruban plissé y est cloué, bien sûr, le sabot est garni de dentelles.
VI – Les Gilles tiennent un balai à la main, en symbole de renouveau.
VII – Pour être Gille, il faut être un homme, être Belge et être Binchois d’origine.
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Le moulin à papier fonctionne et se visite, la pâte à papier se fait avec de vieux chiffons blancs, de nos grand-mère
"Si vous allez à Ambert, cela vaut le détours de visiter le moulin Richard de bas, le moulin où ce créer toutes sortes de papiers, fait main, avec la récupération de vieux chiffons blancs, des chemises de nos grands-mères en toile de lin et de chanvre. Notre guide nous captive avec l'histoire du papier et il y a aussi une librairie avec de jolis cadres, sur du papier fleuri et un poème. Et tout plein d'autre chose. L'hiver au moulin, se font les feuilles blanches et par la suite grâce à leurs jardins de fleurs, ce sont les feuilles avec des pétales, fougères et graminées, j'ai été, sous le charme. et nous avons commencé la visite par le musée historique du papier qui est fort bien commenté."
Le moulin Richard de bas à Ambert (63) est le plus ancien moulin à papier fait tout à la main et le 1er d'Europe.
- papier blanc l'hiver
- et grâce à leur jardin, papier fleuri
Visite guidée
La fabrication du papier - l'exposition passionnante de la papeterie depuis son invention par les Chinois.
TOUT est fait main :
- le triage des vieux chiffons blancs de récupération coupés en petits morceaux sur une table de granit.
- dans le fracas cadencés des maillets qui broient les vieux chiffons dans une salle aux voutes suintantes, on sent l'atmosphère, lourde bruyante.
- c'est 30 h pour faire la pâte, lavée par l'eau des sources.
- C'est dans une cuve spéciale que la pâte se mélange, les pétales, les morceaux de fougère et les fleurs de leurs jardins.
- dans les grandes cuves avec une grande passoire "l'ouvreur" (celui qui fait l'ouvrage), puise les fibres de cellulose en suspension. L'eau s'élimine par égouttage.
- après l'égouttage, le "coucheur" dépose sur un feutre la forme recouverte de pâte à papier.
- la porse est l'ensemble de 100 couches de la pâte à papier intercalées de feutre. 4 hommes sont nécessaires pour le pressage et + l' aide du cabestan pour multiplier l'effort. La pression exercée sur les feuilles est de quarante tonnes.
- après c'est l'élevage des feuilles "très fragiles" blanches ou à fleurs (suivant la saison).
- et ces feuilles vont dans une salle "l'étendoir", l'humidité de l'intérieur avec l'atmosphère doit permette un séchage lent.
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Voilà nous sommes en haut de l'horloge avec en premier plan la table d'orientation, ce jour là, il faisait gris et pas chaud du tout
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